jeudi 17 septembre 2009

Préléminaires


Juste pour vous mettre en jambes : 

Oh ! Douce sensation, douce pêche, 
Par un simple contact, qui frémit, 
Me plaît du goût suave et sucré, 
Fondant sur ma bouche, une telle envie…

Oui ! Chaude et enivrante caresse, 
Tes mains, vers mes seins qui se dressent, 
Et cette odeur, vers toi, qui m’attire, 
Je ferme les yeux pour nous sentir…

Dévoile-moi Vénus, ses secrets, 
Que mes lèvres glissent lentement, 
Que ma main découvre cette voile, 
Goutter l’humidité, doucement…

Rapproche-toi ! Je tremble pour toi, 
Cette odeur me venant à la bouche, 
Comme du miel coule dans ma gorge, 
Sulfurant plaisir entre mes mains…

Eveil mes sens, sublimes lèvres ! 
Par un baiser, je te le rendrai, 
Permutant ma langue avec mes doigts, 
En deçà du nombril et des reins… 

Ah ! Quelle joie de te sentir en moi ! 
Humides et chaudes caresses, 
Au sommet, tu pourras me porter, 
En cet acte, tu voudra t’y loger…

"Sous le signe du feu" partie 2

Voici la 2ème partie de cette première nouvelle érotique. Bon on en est encore à l'introduction, mais je suis lent en ce moment. 

Voici la 1ère partie : partie 1

Il savait en jouer, non pas comme on se joue des autres, mais plutôt comme quelqu'un qui aimait mettre les avantages de son côté pour plaire aux gens. Et plaire, il était devenu maître. Il avait tellement séduit et s'était tellement entrainé à plaire que c'était alors une seconde nature. Sa personnalité était séduisante. Rien d'hypocrite là dedans, encore moins de la mauvaise hypocrisie. Car, hypocrisie s'il y a, ce n'est qu'à des fins plaisantes. Et tout lui réussissait : plaire à tous était chose facile pour un beau jeune homme comme lui ! 


De ce fait, séduire était une chose en laquelle il excellait et la priorité qu'il y mettait, reléguait d'autres activités en second ordre. Les autres, notamment ses amis, le voyait bien et parfois prenaient cela comme de la légèreté, du j'm'en foutisme. En effet, faire passer son désir de séduire après sa situation financière et sociale était quelque chose de perturbant pour la majorité de ses relations. Bien qu'il le remarquait et qu'il le savait, il ne s'en offusquait pas et faisait mine de rien voir. 

Il séduisait, léo, tous les jours, c'était devenu une drogue. Mais cette séduction ne se suffisait pas à elle même, c'était la conséquence d'un autre désir : le sexe. Son unique but, le sexe, la jouissance, il le recherchait partout avec n'importe qui, ou presque, tant qu'il y trouvait un intérêt au plaisir de la chair, Léo séduisait pour le sexe. 


Il était pourtant exigeant. Bien qu'éclectique, il fallait bien sûr que ses futurs partenaires répondent à quelques conditions. L'hygiène en était l'une des plus importantes, tout autant que l'aura sensuelle que peux dégager une personne. Le physique n'était pas vraiment important, mais il y voulait de l'harmonie : pas d'énormes seins sur une petite femme ; pas de petites jambes sur une grande femme ; et encore d'autres plus ou moins raisonnables.