jeudi 5 mars 2015

"Sous le signe du feu" partie 8

Bonjour à tous, Merci à ceux qui viennent me lire de temps à autre. Désolé, mais je ne suis pas vraiment quelqu'un de bien régulier. Oui, cela fait trois ans que je ne suis pas venu ici : La famille, le boulot, etc... Mais je n'abandonne pas et voici une suite à l'histoire : "Sous le signe du feu" ! Je tiens également à vous dire que les parties précédentes ont été remaniées plusieurs fois : Je vous les montrerai quand j'aurai terminé la nouvelle.
Ce souvenir revenait souvent quand il voyait les jeunes filles dans le parc. Leur façon de s'habiller, aguichantes et maladroite, souvent vulgaires. Un maquillage un peu trop forcé, des minijupes et mini-shorts relevés de strings, de débardeurs sexy qui laissaient apparaître leur ventre nu d'où leur nombril nous épiait naïvement ; ces jeunes filles parlaient et riaient forts pour attirer les jeunes hommes ou se donner de l'importance.
Cela lui rappelait toutes celles qu'il avait connu après Fanny, celles qui s'étaient laissé faire entre ses mains, de belles grandes mains, fortes et rassurantes mais toujours délicates. Toutes ces filles à qui il a pris la virginité ou celles à qui il redonna confiance au sexe et aux hommes après une ou plusieurs mauvaises expériences. Celles qu'il forma de son mieux, non pas au sexe, mais au plaisir, à ce faire plaisir en faisant plaisir.
Il en avait rencontré beaucoup des femmes dans ce parc, jeunes, plus matures, mariés même, coquines, exubérantes ou timides et discrètes, toutes sortes de femmes et il n'en faisait plus le décompte.
Il avait clairement souvenir de sa première relation avec une inconnue rencontrée dans ce parc. Elle n'était pas vierge et s'appelait Marion. Léo était en première année et comme à chaque jour de beau temps il était au parc, pour lire. De temps à autres il relevait la tête pour admirer les jeunes filles, les couples et autres sujets de plaisirs.
Entre deux chapitre du « Rouge et le noir » de Stendhal, il aperçut Marion étendue sur le ventre, à l'ombre d'un chêne, derrière un groupe de jeunes bruyants. Elle lisait, les pieds relevés, une main tenant sa tête, l'autre tournant les pages. Elle avait un chignon qui lui dévoilait son cou, mince, sur lequel caressait une mèche de ses cheveux châtains.
Léo la voyait de profil arrière. Il ne pouvait distinguer son visage que lorsque qu'elle changeait de main, sûrement le résultat de l'engourdissement de celle qui tenait sa tête. Et encore, il ne voyait pas clairement. Il apercevait un petit nez droit un menton discret se perdant sous des lèvres roses.
Il n'était qu'à une quinzaine de mètre d'elle et posa son livre pour mieux l'apprécier. Elle avait un pantalon blanc en lin qui galbait de manière parfaite de petite fesses rebondies. Elle portait une sorte de débardeur qui croisait dans le dos laissant apparaître une peau légèrement mate. Au bout de trente minutes, le soleil tourna et Marion, pour rester à l'ombre du chêne, fut obligée de changer de position et de bouger. Elle s'en retrouva rapprochée de Léo et de face. Ce dernier, à sa grande satisfaction, pu plonger dans le décolleté de celle-ci, un petit décolleté, simple mais suffisant. Allongée sur le ventre, Léo pouvait entrevoir le bout d'un de ses tétons, rose et ferme. A l'évidence, soit Marion s'en moquait, soit elle était trop absorbée par son livre qu'elle n'y fit pas attention.
C'est alors que le groupe de jeunes parti, il était près de 17 heures et le soleil du soir caressait le visage de Léo, accompagné d'une légère brise rafraîchissante. Il se sentait bien et la vue de cette fille allongée, lui procura un désir sexuelle qui fit durcir sa verge.
C'est à ce moment que Marion releva le visage et aperçut Léo qui la regardait. Sans détourner le regard, il prit son livre et Marion lui sourit. Il lui sourit à son tour et repris sa lecture. Ces yeux lisaient mais pas sa tête quand une ombre lui cacha le soleil, il releva les yeux et vit Marion, s'accroupir devant lui en souriant . Elle lui montra son livre, c'était « La chartreuse de Parme », de Stendhal, et ils rirent tous les deux ensemble.
Il parlèrent tout les deux de Stendhal, de ces romans et autres essaies qui portaient généralement sur l'amour, ses complexités et ses cristallisations. Forcément le sujet dévia petit à petit sur leur propres expériences, avis et envies.
Marion était assez jolie fille, la peau claire mais légèrement halée, des yeux verts émeraudes. Elle avait un visage souriant et un regard pétillant.
Quand le temps se rafraîchit, il l'a pris par la main et il l'emmena chez lui. Léo habitait un petit appartement douillet et pratique au rez-de-chaussée d'un immeuble ancien de quatre étages avec cour intérieure et escaliers en bois classés. Les fenêtres de son salon avaient vu plein Sud sur un petit jardin et donc, n'avait pas de vis à vis. A cette heure, la lumière douce et rouge du soir pénétrait romantiquement dans l'appartement . Attenant au salon, une petite cuisine américaine, dont un bar en marbre, était éclairé par une rangée de 3 petits spots. Léo servit un verre de vin rouge, du Pauillac, à Marion et sortit une boîte de chocolat au piment d'Espelette, deux choses, avec les préservatifs, qu'il avait toujours en quantité non négligeable. Il lança alors un album de St Germain et dégustèrent, assis, l'ensemble aphrodisiaque, en bavardant d'érotisme et de poésie.
Au deuxième verre de vin, elle se leva et entrepris la visite de la pièce, tout en sirotant posément le nectar rouge. Elle regarda les livres, les CD, les films, la reproduction de Joan Miro, puis admira le coucher du soleil. Léo la suivit du regard, de sa place, puis, se leva à son tour, ouvrit discrètement une porte japonaise dans le fond de la pièce afin de découvrir le lieu de ses plaisirs. Il se rapprocha ensuite de Marion, lui prit son verre pour le déposer sur le bord de la fenêtre, la prit par la taille et l'embrassa. Elle avait le même goût chocolat, vin rouge, épicé, que lui mais en plus fruité. Elle introduit sa langue dans sa bouche et il en fit de même. Léo empoignât sa fesse droite avec sa main droite tout en la ramenant par la taille avec son bras gauche. Elle était asse petite et bien fine, Léo se fit alors le plus délicat possible. Peut-être une erreur, quand il senti les petites mains de Marion lui prendre ses fesses avec une force insoupçonnée. Il enleva alors sa chemisette pendant qu'elle se débarrassait de son haut. Elle portait un balconnet pourpre en dentelle ce qui donnait à son petit tour de poitrine, une rondeur et une importance fascinante. Il l'embrassa dans le cou et sur la nuque dégagée, elle renversa la tête sur le côté. Les mains de Marion étaient remontées, l'une caressait le dos de Léo, l'autre la poitrine et le ventre. Ce dernier approcha ses baisers de ses seins. Elle frémissait, ses mains, déboutonnant le pantalon beige de Léo, s'immiscèrent peu à peu sur le boxer. Il l'imita, et son pantalon en lin tomba à ses pieds, nus, qui, d'un petit pas de danse, se débarrassèrent de l'encombrant vêtement. Léo caressa alors les fesses nus de Marion, petites fesses rebondies et mises en valeur par le tanga assorti au soutien-gorge. Elle entreprit alors de lui enlever le pantalon, ce qu'il fit, dévoilant alors le boxer bordeaux. Ils étaient bien assortis, ils en rire !
Alors que St Germain entamait son troisième morceau, Léo lui pris la main, elle, son verre de vin, et l'emmena dans la chambre attenante en prenant au passage un peu de chocolat. Cette pièce carrée n'était pas grande et n'avait presque aucun mobilier : un matelas énorme prenait toute la surface, de petite lampes éclairaient faiblement depuis le sol, dans une ambiance tamisée. Un miroir était apposé sur un mur et sur un autre, une sorte de bordure était agrémentée de petits coussins. Marion déposa son verre sur une petite tablette à l'entrée de la chambre, embrassa Léo en lui mordillant la lèvre et frottant son ventre contre son sexe dur. Elle le renversa sur le lit, lui embrassa les pieds, tout en lui retirant son boxer.
Elle pris alors son sexe entre ses deux mains et commença doucement à le branler en y ajoutant la langue. Léo se laissa faire tout en lui caressant les cheveux, la nuque et le cou. Il en profita pour dégrafer son soutien-gorge. Elle ne s'arrêta pas à sa verge drue, mais lui suça, au rythme du jazz électro, les bourses pour enfourner sa langue dans l'anus, qu'elle avait auparavant préparé à l'aide de son index. Puis, elle remonta, lui suça les tétons en lui caressant les côtes.
Il l'a retourna alors, et entrepris le même cheminement. Il suçota ses petits tétons en lui caressant les épaules et les bras, puis la lécha entièrement jusqu'au bas, puis lui ôtant sa dernière lingerie, passa sa langue autour de son sexe sur ses cuisses, derrière les genoux. Il lui releva une jambe, et lui léchant le pied, il la lui massa légèrement.
Il fit de même à l'autre, puis, remonta vers son sexe, chaud et humide, qui sentait l'érotisme et le désir. Elle écarta les jambes pour lui laisser le passage et celui-ci remonta en léchant l'intérieur de ses cuisses, les plis de l'aine, effleura du bout de la langue les grandes lèvres, puis enfourna celle-ci dans son con. Elle soupira de plaisir, et il fit jouer sa langue sur les lèvres, l'anus et par effleurement, le clitoris, jusqu'à ce que son sexe soit très humide et que les fesses de Marion frétillent d'envie.
A ce moment, il remonta mordiller les tétons, ses mains la caressait long de l'échine et des hanches, il lui pris le visage dans sa main droite, l'embrassa profondément et pénétra son sexe dans le vagin impatient de Marion. Elle ne pu retenir un petit cri jouissif quand elle sentit en elle le membre dur et chaud de Léo.
Tous les deux redoublaient de caresses et par moment Marion, dans un accès de plaisir, agrippait fermement les fesses de Léo afin d'approfondir la pénétration. Un releva ses jambes, Léo les mit sur ses épaules, l'attrapa par le bassin et commença à se dehancher sur le sexe ouvert de Marion. Elle haletait de plus en plus vite, tournant sa tête, d'un côté, puis d'un autre...Léo lui pinça les tétons d'une main, et de l'autre, lui caressa le clitoris tout en continua son impitoyable pilonnement.
Elle sursauta et gémit de plus en plus fort ; mais ne s'avoua pas encore vaincue et décida de prendre les choses en main : Elle se releva, forçant Léo à se coucher. Elle entreprit alors de le chevaucher, doucement, en le regardant dans les yeux, puis, peu à peu, changea de position pour lui montrer sa croupe, toujours en branlant le sexe avec son vagin musclé, et passa sa langue entre les orteils de Léo.
Ce dernier, excité par le cul qui lui apparaissait, se releva d'un coup et débuta une action en levrette qui surpris admirablement Marion. Il lui pris un sein dans une main, lui caressait le corps avec l'autre, jusqu'à lui insérer un doigt humide dans l'anus. Elle lui tendit de plus en plus sa croupe et Léo après avoir bien lubrifié, entrepris une petite pénétration anale tout en excitant le clitoris de Marion. Après quelques va et vient, accompagné de cris jouissif de Marion, il se retira, la pris par la taille, la coucha sur le côté, une jambe repliée, il la pénétra ainsi, jusqu'au fondement : elle ne pu se retenir ; sa tête, toute engourdie, cessa de réfléchir, elle haletait, sa respiration était devenu rapide, aux rythmes de celle de Léo, comme une locomotive, il la pénétrait sans relâche. Elle ne savait plus où elle était, qui elle était, ce qu'elle faisait ; une vague d'émotions intenses commencèrent à la submerger. Tel un train, Léo continuait et senti lui aussi la jouissance monter en lui. Son déhanchement n'était plus de sa propre volonté, une force avait pris le relais : Ils se laissaient tous les deux aller au plaisir suprême, à la jouissance partagée et dans un hurlement à l'unisson, Léo déchargea dans le vagin chaud et mouillé de Marion procurant une décharge électrique suivie d'un puissant sentiment d'assouvissement.
Lentement, en se caressant l'un et l'autre, il finit ses mouvement de bassin, et la verge toujours à l'intérieur de sa partenaire, vin se coller tout contre son dos et son joli cul. Ils s'étreignirent et s'endormirent, ainsi.

dimanche 15 avril 2012

"Sous le signe du feu" partie 7


Bonjour,


Voici bien longtemps que je n'ai rien fait. Mais vous le croirez ou pas, j'avais déjà écrit la suite. Le problème c'est qu'il est sur le disque dur de mon PC qui est mort et dont je n'ai pas le moyen de récupérer quoi que soit.
Donc, j'ai dû recommencer un peu avec ce que je me souvenais. ça devrait être sensiblement pareil, peut-être plus long, peut-être plus détaillé, peut-être mieux.

Donc, voici la suite de la nouvelle "Sous le signe du feu", partie 7. La fin, approche, mais il reste encore beaucoup de choses à lire.


Il lui présenta alors son sexe dur et droit, elle le fixait, les lèvres pincées que sa la langue humecta. L'odeur de l'appareil était suave, douce et puissante. Elle le prit fermement dans sa main et débuta un lent mouvement de va et vient dans sa bouche. Elle commença par suçoter le gland sur lequel elle faisait jouer sa langue. Ses lèvres humides caressaient le sexe de Léo et les yeux de Fanny étaient remplis de joie et de gourmandise. Léo eut même cru qu'elle allait en pleurer.


Elle s'en donnait à cœur joie et se mit à engloutir cette friandise inespérée, doucement, goulûment. Sa main branlait, sa langue frétillait, ses lèvres étreignaient ce sexe, son nez inspirait autant qu'il le pût cette effluve et la musique repris un nouveau morceau : « I wanna be a women » lui susurrait cette voix douce. Elle le voulait, elle le devait, et ne demandait que ça, être une femme, ici, avec lui, avec l'instrument de la vie dans sa bouche ; je suis sa maîtresse, je suis la maîtresse. A cette pensée, elle accéléra, lécha la verge dans son entier, allant sucer les bourses épilées de Léo qu'elle caressait de sa main gauche.

Quant à lui, il s'était allongé, les jambes repliées, caressant les cheveux de Fanny, sa nuque, ses petits seins. Sa respiration se fît de plus en plus rapide, il s'était abandonné à elle, à ce plaisir donné. Il sentait son sexe dur et gonflé dans la bouche humide et chaude de Fanny. Il sentait sa petite main serrer son sexe comme si elle voulait retarder le moment de la jouissance. Il sentait les caresses qu'elle prodiguait à ses bourses et son doigt, qu'elle mouillait de cyprine, lui caresser l'anus jusqu'à introduction. Il sentait ce doigt lui procurer un plaisir complémentaire à la langue sur son pénis.

Fanny, lui suça les boules, lui lécha la rosette, y introduit sa langue longuement, délicatement. Sa main branlait toujours le sexe. Elle revint sur le gland, et engouffra la verge tout entière. Aux gémissements de Léo, elle avait décidé que venait le moment. Ce moment qu'elle attendait au moins autant que lui. Cet instant où elle pourra goûter à l'extrait de sensualité, au miellat des hommes, elle ne faisait que d'y penser. Léo sentait monter en lui la jouissance, son sexe durcit et se gonfla. Fanny s'en aperçut et, suçant de façon à vouloir tout extraire de ce sexe, elle caressa de son doigt la prostate de Léo. Le plaisir arrivait, Léo, gémissait, Fanny était surexcitée. Elle savait ce qu'elle faisait, elle s'en réjouissait ; il savait qu'il pouvait compter sur elle, il se laissa aller ; et dans un râle, dans un gémissement, une giclée de foutre alla se loger dans la bouche de Fanny. Elle continu de lécher, elle ne voulait rien laisser. On pouvait apercevoir un peu du liquide sur ses lèvres. Elle engloutit tout, avala toute cette substance chaude, humide, douce et salée.


Elle se coucha près de lui, il l'embrassa à pleine bouche. Ils se caressèrent longuement sur tout le corps. Puis, voyant l'heure, se rhabillèrent et Fanny rentra.

Ils se revirent le lendemain et firent l'amour de la plus belle, sensuelle et parfaite manière que l'on puisse imaginer.


samedi 16 avril 2011

"Sous le signe du feu" partie 6



Bonjour à vous amis libertins.

Voici une grosse partie (sans mauvais jeu de mots) de cette nouvelle. Attention au sexe !


Tous les jours, Léo jouait à ce jeu, et presque tous les jours il avait sa dose de jouissance, sa dose de sexe. Les jours sans étaient des jours familiaux, de travail, de fatigue ou de maladie.

Il aimait surtout deux situations : La première était celle de la rencontre dans un parc. La deuxième était celle de la séduction chez des amis. Il se rappelait vraiment les plus beaux moments qu'il a passé dans ces deux situations. Ces souvenirs lui donnent toujours plus de vigueur dans la recherche d'autres plaisirs équivalents.

Quand il va au parc par les jours de beaux temps, il scrute, il épie, il ressent les émotions, la volupté chez toutes les personnes qu'il voyait : jeunes filles à peine déflorées, mére de famille à la recherche d'un renouveau orgasmique, jeunes hommes et jeunes femmes doutant encore de leur sexualité et découvrant par jeu les délices de la libido.

Ah les jeunes filles, qui, en groupes, assises sur l'herbe, parlent de mecs, de sexe, avec les connaissances de ce qu'elles lisent dans des magazines stéréotypés et insipides. Elles se posent des questions et dégagent une fraîcheur et un désir d'apprendre qui n'a d'égale que leurs parfums délicieusement sucrés. Léo se rappelle en les voyant, ses premier ébats sexuels, ses premières fellations, ses premiers cunnilingus. Il était novice mais mettais du cœur à l'ouvrage. Il savait déjà s'y prendre, sans brusquer, doucement, délicatement, mais fermement. Il avait choisi de d'abord procurer du plaisir à l'autre. Ce qui veut dire de longs préliminaires, parfois, même, il n'allait pas plus loin. Il était devenu ainsi un spécialiste avec sa langue de chat. Il savait jouer du clitoris avec son doigt et sa langue, ne pas aller trop vite, ralentir quand il fallait, accélérer quand elle le désirait, de tout son être, de tout sont sexe.

Elle, s'appelait Fanny. Elle était brune, petite, avait des grands yeux noisettes et une peau blanche comme les nuages. Ses seins étaient déjà formés, elle avait 16 ans, lui 17. C'était une fille de son quartier qu'il voyait de temps en temps avec ses amis. Il se rappelle l'avoir invité à aller voir une exposition d'art moderne alors que leurs amis étaient partis, peut-être rentrés, peut-être pas intéressés par des peintures.

Ce qui l'amena ainsi à l'inviter chez lui après l'exposition. Bien sûr, elle était déjà venu, mais jamais seule. Ce jour là, il faisait beau et chaud. Le soir, une brise fraîche soufflait à travers la chambre ; la fenêtre ouverte, les rideaux fermés respiraient au même rythme que les deux corps s'enlaçaient et s'embrassaient. Léo avait mis de la musique, Portishead ! La musique douce et lente, harmonisait l'atmosphère de la pièce : c'était leur toute première fois. Il l'embrassa, la caressa. Elle se laissa allé, portés par l'ambiance, les mains douces et vigoureuses de Léo, ses baisers langoureux et sucrés.

Ils étaient très excités, elle était un peu inquiète. Il l'avait remarqué et à donc fait en sorte qu'elle se détende, qu'elle prennent confiance en elle et en son partenaire. Ses mains parcouraient son corps, sa tête, sa nuque, ses épaules, son dos, alors que ses baisers effleuraient sa bouche, son cou, ses oreilles. Il glissa sa main gauche doucement en dessous de son petit haut, lui caressa le dos, toucha les bretelles de son soutien gorge, descendit la main près des hanches, alors que de l'autre, il maintenant et caressait son visage et sa nuque.

Elle était vêtue d'un short en jean délavé, très à la mode à cette époque. Il glissa ma main sur ses jambes nues, remonta aux cuisses, effleura du bout des doigts ses fesses. Sa main droite tenait encore vigoureusement la tête de Fanny, qui de plus en plus se penchait en arrière, pour découvrir sa gorge. A ce moment, Léo su qu'elle était en confiance. Il franchit alors une étape. Sa main gauche caressa alors les fesses rondes et musclées de l'adolescente. Sa main droite passa en dessous du T-Shirt et vint caresser les seins fermes de Fanny. Excitée par les caresses et les baisers , elle enleva son haut d'une rapidité déconcertante. Léo empoigna son sein gauche avec la main droite, dégrafa son soutien gorge de l'autre, il descendit sa bouche en direction des mamelons sans oublier de de passer par le cou, de lécher de croquer ses épaules. Il mordilla les tétons et les suça pendant que ses mains commencèrent à caresser le sexe de Fanny. Celle-ci, lancée mais encore intimidée par ce flot de nouvelles émotions, palpa doucement la verge de Léo, dure, enfermée dans son pantalon.

Il défi le short de Fanny, glissa sa main à l'intérieur, d'abord sur le sous-vêtement, un string en coton, dentelé. Il appuya délicatement son pouce sur son vagin, et frotta doucement, du pubis à l'anus. Elle trouva alors le courage d'ouvrir le pantalon et d'empoigner le pénis de Léo : elle ne savait pas vraiment quoi en faire, et le tint fermement, en branlant de temps à autre, au sursaut d'un orgasme.

Son short baissé, enlevé, Léo, toujours suçant les mamelons rose de Fanny, tenait et caressait les fesses nues avec sa main droite, le majeur titillant le sphincter, sa main gauche rentré dans la string, caressant les lèvres et le clitoris humides de son sexe. Il lui enleva alors le sous-vêtement restant, et profita de sa position pour embrasser et lécher son nombril, l'aine épilée de Fanny, pour venir poser sa langue sur le bouton rose de l'orgasme féminin. Elle se coucha alors sur le lit, écarta les jambes laissant le soin à Léo d'admirer, dans le clair obscure de la pièce la sexe rose, mouillé, dilaté et le clitoris, point culminant se son sexe.

Il y engouffra sa langue, et lécha soigneusement l'intégralité. Délicatement, au rythme de la basse de Portishead, il lécha les lèvres, aspira le clitoris, enfonça sa langue dans le vagin. Celle-ci descendit, presque fortuitement sur l'anus rosé de Fanny. Il le lécha également et y enfourna la langue quand celui ci fût près à s'ouvrir.

Fanny gémissait, haletait, se caressait partout, en complément des caresses de Léo. Sa tête basculait d'avant en arrière, de gauche à droite. Une chaleur l'envahit, son corps se mis à frémir, elle bouillait intérieurement. La pression montait et était maintenue par Léo qui avait alors commencé à introduire délicatement son index dans le vagin complétement dilaté, près à accueillir une verge. Il continua son cunnilingus et elle attrapa sa tête en signe comme pour s'accrocher à quelque chose, tout en lui montrant qu'elle allait jouïr. Il accéléra alors la manœuvre, utilisa pleinement sa langue et ses doigts : un dans le vagin, l'autre dans l'anus, elle haletait, ses cris se fîrent de plus en plus aigus, de plus en plus forts, le rythme de la musique était rompu, sa tête et ses yeux se troublèrent, elle ne savait plus où elle était, ce qui se passait, avec qui elle était. Une chaleur intense envahit sa tête. Elle ne sentait que son plaisir, l'arrivée de son premier orgasme, la langue chaude de Léo sur son sexe qu'elle sentait tout humide, et, tout à coup, d'un tressaillement, une explosion survint dans son corps, une explosion de chaleur, un envahissement de sentiments inconnus et indéfinissables qui fûrent accompagnées d'un cri d'extase.

Léo marqua un temps d'arrêt et repris doucement ses caresses, délicatement, en ralentissant au fur à mesure que le corps de Fanny se calmait, au rythme revenu de la musique. Fanny, se calma, heureuse, releva sa tête, ses yeux pétillaient de plaisir, elle pinçait ses lèvres avec ses dents et au moment où elle posa le regard sur la verge dure de Léo qui sortait de sont pantalon, il vit qu'elle n'était pas rassasiée et qu'elle en redemandait encore.


vendredi 4 mars 2011

"Sous le signe du feu " partie 5


Bonjour à tous ceux qui me lisent de temps en temps. J'ai un peu de temps, donc j'en ai profité pour continuer un peu ma nouvelle. Voilà donc la suite de l'histoire de Léo.

Les autres chapitres : "Sous le signe du feu" partie 1 et "Sous le signe du feu" partie 2 et "Sous le signe du feu" partie 3 et "Sous le signe du feu" partie 4.


Léo passait la plupart de son temps à la recherche de personnes désirantes. A l'université, au travail, les collègues, les clients, dans la rue, au café, au parc, au cinéma, au musée, au restaurant, en boîte, chez les amis, partout ! Partout il passait son temps à discerner, à choisir et à séduire. Il séduisait et parfois se laissait séduire. En effet, sa prestance suffisait à donner le courage aux autres de s'adonner au jeu de la séduction et de la recherche du plaisir.

Parce que Léo n'aimait pas vraiment voir sur le visage de quelqu'un une sorte de contrariété, une contrainte. Il n'aimait pas prendre du plaisir avec quelqu'un qui subit, quelqu'un qui se sent obligé. Au début, il est tombé sur plusieurs personnes qui ne prenaient pas vraiment de plaisir à faire quelques jeux sexuels et sensuels que Léo lançait comme naturels. Ces personnes avaient en effet des a priori très forts sur le sexe et certaines pratiques. Par exemple, la fellation : certaines filles trouvent cela assez écœurants, voire avilissant et parfois même non hygiénique... Mais beaucoup d'entre elles, par la médias, les copines, voir le désir de faire plaisir, ou même par imposition, se sentent obligées de sucer la verge de leur partenaires, et cela avec dégout, sans plaisir. Certaines d'entre elles sont très bonnes comédiennes et arrivent presque à dissimuler leur manque de plaisir.

Léo évite ce genre de personnes, car il ne veut rien imposer. Or, quand on impose, ou qu'on se sent obligé de faire quelque chose, on ne prend pas de plaisir à le faire, donc, on n'y met pas tout son cœur, on procure alors beaucoup moins de jouissances à l'autre. En effet, le sexe est une affaire d'émotion jouissifs, mais doit être réciproque. On aime que l'autre ressente du désir, et cela nous en procure tout autant. C'est un cycle !


Tous les jours, Léo jouait à ce jeu, et presque tous les jours, il avait sa dose de jouissance, sa dose de sexe. Les jours sans étaient des jours familiaux, de travail, de fatigue ou de maladie.

Il aimait surtout deux situations : La première était celle de la rencontre dans un parc. La deuxième était celle de la séduction chez des amis. Il se rappelait vraiment les plus beaux moments qu'il a passé dans ces deux situations. Ces souvenir lui donne toujours plus de vigueur dans la recherche d'autres plaisirs équivalents.



mercredi 4 août 2010

Et un de plus


Salut,

Parce que je suis en forme je vous laisse découvrir cet article intéressant :

envie d'une soirée coquine ? 


Il me reste à vous souhaiter une bonne soirée, mesdames, mesdemoiselles..., et messieurs ! 

"Sous le signe du feu" partie 4


Voici la quatrième partie de cette nouvelle. Pour lire les autres parties : 

"Sous le signe du feu" partie 1 et "Sous le signe du feu" partie 2 et "Sous le signe du feu" partie 3


Cette sensation il la procurait à nombre de personnes : il était comme un Apollon humain, qui cherchait la sensualité des autres. Celle ci se manifestait indéniablement quand on posait un regard sur lui. Le corps de Léo était beau, ses cheveux courts, noirs, son teint légèrement halé, son visage juvénile était surmonté de quelques marques plus virils. Son sourire était discret mais permanent, accompagné de son regard, d'un vert émeraude, des yeux rieurs, des yeux gourmands, des yeux curieux, qui vous hypnotises pour vous emmener dans des coins perdus de votre esprit... Une exploration de vous même à travers ce regard, vous déconcerte, mais vous enivre également : on en ressort revigoré, heureux.

Le reste, on le découvrait souvent plus tard : la buée vous embrumissant les yeux et l'âme, il était souvent impossible de voir autre chose de Léo. Cette dernière partie était la partie cachée de l'iceberg : un corps élancé, musclé, des épaules droite et fortes, des jambes solides, grandes. Son dos galbé mettait en ses fesses en première ligne, des fesses musclées, rondes, des fesses que l'on veut croquer, que l'on veut saisir, des fesses de femmes. On essayait de scruter ce monument pour essayer d'y déceler la frontière de partage entre les deux hémisphères, d'y imaginer la ligne intime amenant à l'entrée exquise de ce corps pure. 

Léo, était un corps entretenue, épilé juste ce qu'il faut, propre. Son sexe, légèrement foncé, était bien visible, et trônait fièrement entre ses jambes, droit, imposant mais rassurant. Il n'était pas énorme, avait une taille moyenne, mais était beau. Il ne penchait sur aucun côté. Ses bourses, attachées en dessous, était uniformément proéminentes. Son gland, rose et scintillant enflait, décalotté, généreusement au sommet d'un membre rond, ni trop large ni trop long mais affriolant. L'odeur suave, muscée mais fraîche et sucré qui émanait de ce corps et de ce sexe nous montait à la tête, comme les parfums enivrants de nectars appétissants. Même la plus prude des femmes, le plus macho des hétéros n'auraient pu résister à l'envie de s'en emparer et de l'engloutir. C'est à cet instant que tous vos sens s'éveillent brusquement !





dimanche 7 février 2010

Bonne... Euh... St Valentin.


Et bien désolé de l'inactivité mais je suis extrêmement pris en ce moment...


Mais pour me faire pardonnez je vous glisse un lien très plaisant : une jolie photo par jour. En plus de la beauté des sujets, les photos sont souvent très joliment mis en scène : 


Bonjour Madame


Donc, bon visionage...


P.S. : Je me remettrai bientôt à écrire, enfin, j'y penserai bientôt !