vendredi 4 mars 2011

"Sous le signe du feu " partie 5


Bonjour à tous ceux qui me lisent de temps en temps. J'ai un peu de temps, donc j'en ai profité pour continuer un peu ma nouvelle. Voilà donc la suite de l'histoire de Léo.

Les autres chapitres : "Sous le signe du feu" partie 1 et "Sous le signe du feu" partie 2 et "Sous le signe du feu" partie 3 et "Sous le signe du feu" partie 4.


Léo passait la plupart de son temps à la recherche de personnes désirantes. A l'université, au travail, les collègues, les clients, dans la rue, au café, au parc, au cinéma, au musée, au restaurant, en boîte, chez les amis, partout ! Partout il passait son temps à discerner, à choisir et à séduire. Il séduisait et parfois se laissait séduire. En effet, sa prestance suffisait à donner le courage aux autres de s'adonner au jeu de la séduction et de la recherche du plaisir.

Parce que Léo n'aimait pas vraiment voir sur le visage de quelqu'un une sorte de contrariété, une contrainte. Il n'aimait pas prendre du plaisir avec quelqu'un qui subit, quelqu'un qui se sent obligé. Au début, il est tombé sur plusieurs personnes qui ne prenaient pas vraiment de plaisir à faire quelques jeux sexuels et sensuels que Léo lançait comme naturels. Ces personnes avaient en effet des a priori très forts sur le sexe et certaines pratiques. Par exemple, la fellation : certaines filles trouvent cela assez écœurants, voire avilissant et parfois même non hygiénique... Mais beaucoup d'entre elles, par la médias, les copines, voir le désir de faire plaisir, ou même par imposition, se sentent obligées de sucer la verge de leur partenaires, et cela avec dégout, sans plaisir. Certaines d'entre elles sont très bonnes comédiennes et arrivent presque à dissimuler leur manque de plaisir.

Léo évite ce genre de personnes, car il ne veut rien imposer. Or, quand on impose, ou qu'on se sent obligé de faire quelque chose, on ne prend pas de plaisir à le faire, donc, on n'y met pas tout son cœur, on procure alors beaucoup moins de jouissances à l'autre. En effet, le sexe est une affaire d'émotion jouissifs, mais doit être réciproque. On aime que l'autre ressente du désir, et cela nous en procure tout autant. C'est un cycle !


Tous les jours, Léo jouait à ce jeu, et presque tous les jours, il avait sa dose de jouissance, sa dose de sexe. Les jours sans étaient des jours familiaux, de travail, de fatigue ou de maladie.

Il aimait surtout deux situations : La première était celle de la rencontre dans un parc. La deuxième était celle de la séduction chez des amis. Il se rappelait vraiment les plus beaux moments qu'il a passé dans ces deux situations. Ces souvenir lui donne toujours plus de vigueur dans la recherche d'autres plaisirs équivalents.