jeudi 5 mars 2015

"Sous le signe du feu" partie 8

Bonjour à tous, Merci à ceux qui viennent me lire de temps à autre. Désolé, mais je ne suis pas vraiment quelqu'un de bien régulier. Oui, cela fait trois ans que je ne suis pas venu ici : La famille, le boulot, etc... Mais je n'abandonne pas et voici une suite à l'histoire : "Sous le signe du feu" ! Je tiens également à vous dire que les parties précédentes ont été remaniées plusieurs fois : Je vous les montrerai quand j'aurai terminé la nouvelle.
Ce souvenir revenait souvent quand il voyait les jeunes filles dans le parc. Leur façon de s'habiller, aguichantes et maladroite, souvent vulgaires. Un maquillage un peu trop forcé, des minijupes et mini-shorts relevés de strings, de débardeurs sexy qui laissaient apparaître leur ventre nu d'où leur nombril nous épiait naïvement ; ces jeunes filles parlaient et riaient forts pour attirer les jeunes hommes ou se donner de l'importance.
Cela lui rappelait toutes celles qu'il avait connu après Fanny, celles qui s'étaient laissé faire entre ses mains, de belles grandes mains, fortes et rassurantes mais toujours délicates. Toutes ces filles à qui il a pris la virginité ou celles à qui il redonna confiance au sexe et aux hommes après une ou plusieurs mauvaises expériences. Celles qu'il forma de son mieux, non pas au sexe, mais au plaisir, à ce faire plaisir en faisant plaisir.
Il en avait rencontré beaucoup des femmes dans ce parc, jeunes, plus matures, mariés même, coquines, exubérantes ou timides et discrètes, toutes sortes de femmes et il n'en faisait plus le décompte.
Il avait clairement souvenir de sa première relation avec une inconnue rencontrée dans ce parc. Elle n'était pas vierge et s'appelait Marion. Léo était en première année et comme à chaque jour de beau temps il était au parc, pour lire. De temps à autres il relevait la tête pour admirer les jeunes filles, les couples et autres sujets de plaisirs.
Entre deux chapitre du « Rouge et le noir » de Stendhal, il aperçut Marion étendue sur le ventre, à l'ombre d'un chêne, derrière un groupe de jeunes bruyants. Elle lisait, les pieds relevés, une main tenant sa tête, l'autre tournant les pages. Elle avait un chignon qui lui dévoilait son cou, mince, sur lequel caressait une mèche de ses cheveux châtains.
Léo la voyait de profil arrière. Il ne pouvait distinguer son visage que lorsque qu'elle changeait de main, sûrement le résultat de l'engourdissement de celle qui tenait sa tête. Et encore, il ne voyait pas clairement. Il apercevait un petit nez droit un menton discret se perdant sous des lèvres roses.
Il n'était qu'à une quinzaine de mètre d'elle et posa son livre pour mieux l'apprécier. Elle avait un pantalon blanc en lin qui galbait de manière parfaite de petite fesses rebondies. Elle portait une sorte de débardeur qui croisait dans le dos laissant apparaître une peau légèrement mate. Au bout de trente minutes, le soleil tourna et Marion, pour rester à l'ombre du chêne, fut obligée de changer de position et de bouger. Elle s'en retrouva rapprochée de Léo et de face. Ce dernier, à sa grande satisfaction, pu plonger dans le décolleté de celle-ci, un petit décolleté, simple mais suffisant. Allongée sur le ventre, Léo pouvait entrevoir le bout d'un de ses tétons, rose et ferme. A l'évidence, soit Marion s'en moquait, soit elle était trop absorbée par son livre qu'elle n'y fit pas attention.
C'est alors que le groupe de jeunes parti, il était près de 17 heures et le soleil du soir caressait le visage de Léo, accompagné d'une légère brise rafraîchissante. Il se sentait bien et la vue de cette fille allongée, lui procura un désir sexuelle qui fit durcir sa verge.
C'est à ce moment que Marion releva le visage et aperçut Léo qui la regardait. Sans détourner le regard, il prit son livre et Marion lui sourit. Il lui sourit à son tour et repris sa lecture. Ces yeux lisaient mais pas sa tête quand une ombre lui cacha le soleil, il releva les yeux et vit Marion, s'accroupir devant lui en souriant . Elle lui montra son livre, c'était « La chartreuse de Parme », de Stendhal, et ils rirent tous les deux ensemble.
Il parlèrent tout les deux de Stendhal, de ces romans et autres essaies qui portaient généralement sur l'amour, ses complexités et ses cristallisations. Forcément le sujet dévia petit à petit sur leur propres expériences, avis et envies.
Marion était assez jolie fille, la peau claire mais légèrement halée, des yeux verts émeraudes. Elle avait un visage souriant et un regard pétillant.
Quand le temps se rafraîchit, il l'a pris par la main et il l'emmena chez lui. Léo habitait un petit appartement douillet et pratique au rez-de-chaussée d'un immeuble ancien de quatre étages avec cour intérieure et escaliers en bois classés. Les fenêtres de son salon avaient vu plein Sud sur un petit jardin et donc, n'avait pas de vis à vis. A cette heure, la lumière douce et rouge du soir pénétrait romantiquement dans l'appartement . Attenant au salon, une petite cuisine américaine, dont un bar en marbre, était éclairé par une rangée de 3 petits spots. Léo servit un verre de vin rouge, du Pauillac, à Marion et sortit une boîte de chocolat au piment d'Espelette, deux choses, avec les préservatifs, qu'il avait toujours en quantité non négligeable. Il lança alors un album de St Germain et dégustèrent, assis, l'ensemble aphrodisiaque, en bavardant d'érotisme et de poésie.
Au deuxième verre de vin, elle se leva et entrepris la visite de la pièce, tout en sirotant posément le nectar rouge. Elle regarda les livres, les CD, les films, la reproduction de Joan Miro, puis admira le coucher du soleil. Léo la suivit du regard, de sa place, puis, se leva à son tour, ouvrit discrètement une porte japonaise dans le fond de la pièce afin de découvrir le lieu de ses plaisirs. Il se rapprocha ensuite de Marion, lui prit son verre pour le déposer sur le bord de la fenêtre, la prit par la taille et l'embrassa. Elle avait le même goût chocolat, vin rouge, épicé, que lui mais en plus fruité. Elle introduit sa langue dans sa bouche et il en fit de même. Léo empoignât sa fesse droite avec sa main droite tout en la ramenant par la taille avec son bras gauche. Elle était asse petite et bien fine, Léo se fit alors le plus délicat possible. Peut-être une erreur, quand il senti les petites mains de Marion lui prendre ses fesses avec une force insoupçonnée. Il enleva alors sa chemisette pendant qu'elle se débarrassait de son haut. Elle portait un balconnet pourpre en dentelle ce qui donnait à son petit tour de poitrine, une rondeur et une importance fascinante. Il l'embrassa dans le cou et sur la nuque dégagée, elle renversa la tête sur le côté. Les mains de Marion étaient remontées, l'une caressait le dos de Léo, l'autre la poitrine et le ventre. Ce dernier approcha ses baisers de ses seins. Elle frémissait, ses mains, déboutonnant le pantalon beige de Léo, s'immiscèrent peu à peu sur le boxer. Il l'imita, et son pantalon en lin tomba à ses pieds, nus, qui, d'un petit pas de danse, se débarrassèrent de l'encombrant vêtement. Léo caressa alors les fesses nus de Marion, petites fesses rebondies et mises en valeur par le tanga assorti au soutien-gorge. Elle entreprit alors de lui enlever le pantalon, ce qu'il fit, dévoilant alors le boxer bordeaux. Ils étaient bien assortis, ils en rire !
Alors que St Germain entamait son troisième morceau, Léo lui pris la main, elle, son verre de vin, et l'emmena dans la chambre attenante en prenant au passage un peu de chocolat. Cette pièce carrée n'était pas grande et n'avait presque aucun mobilier : un matelas énorme prenait toute la surface, de petite lampes éclairaient faiblement depuis le sol, dans une ambiance tamisée. Un miroir était apposé sur un mur et sur un autre, une sorte de bordure était agrémentée de petits coussins. Marion déposa son verre sur une petite tablette à l'entrée de la chambre, embrassa Léo en lui mordillant la lèvre et frottant son ventre contre son sexe dur. Elle le renversa sur le lit, lui embrassa les pieds, tout en lui retirant son boxer.
Elle pris alors son sexe entre ses deux mains et commença doucement à le branler en y ajoutant la langue. Léo se laissa faire tout en lui caressant les cheveux, la nuque et le cou. Il en profita pour dégrafer son soutien-gorge. Elle ne s'arrêta pas à sa verge drue, mais lui suça, au rythme du jazz électro, les bourses pour enfourner sa langue dans l'anus, qu'elle avait auparavant préparé à l'aide de son index. Puis, elle remonta, lui suça les tétons en lui caressant les côtes.
Il l'a retourna alors, et entrepris le même cheminement. Il suçota ses petits tétons en lui caressant les épaules et les bras, puis la lécha entièrement jusqu'au bas, puis lui ôtant sa dernière lingerie, passa sa langue autour de son sexe sur ses cuisses, derrière les genoux. Il lui releva une jambe, et lui léchant le pied, il la lui massa légèrement.
Il fit de même à l'autre, puis, remonta vers son sexe, chaud et humide, qui sentait l'érotisme et le désir. Elle écarta les jambes pour lui laisser le passage et celui-ci remonta en léchant l'intérieur de ses cuisses, les plis de l'aine, effleura du bout de la langue les grandes lèvres, puis enfourna celle-ci dans son con. Elle soupira de plaisir, et il fit jouer sa langue sur les lèvres, l'anus et par effleurement, le clitoris, jusqu'à ce que son sexe soit très humide et que les fesses de Marion frétillent d'envie.
A ce moment, il remonta mordiller les tétons, ses mains la caressait long de l'échine et des hanches, il lui pris le visage dans sa main droite, l'embrassa profondément et pénétra son sexe dans le vagin impatient de Marion. Elle ne pu retenir un petit cri jouissif quand elle sentit en elle le membre dur et chaud de Léo.
Tous les deux redoublaient de caresses et par moment Marion, dans un accès de plaisir, agrippait fermement les fesses de Léo afin d'approfondir la pénétration. Un releva ses jambes, Léo les mit sur ses épaules, l'attrapa par le bassin et commença à se dehancher sur le sexe ouvert de Marion. Elle haletait de plus en plus vite, tournant sa tête, d'un côté, puis d'un autre...Léo lui pinça les tétons d'une main, et de l'autre, lui caressa le clitoris tout en continua son impitoyable pilonnement.
Elle sursauta et gémit de plus en plus fort ; mais ne s'avoua pas encore vaincue et décida de prendre les choses en main : Elle se releva, forçant Léo à se coucher. Elle entreprit alors de le chevaucher, doucement, en le regardant dans les yeux, puis, peu à peu, changea de position pour lui montrer sa croupe, toujours en branlant le sexe avec son vagin musclé, et passa sa langue entre les orteils de Léo.
Ce dernier, excité par le cul qui lui apparaissait, se releva d'un coup et débuta une action en levrette qui surpris admirablement Marion. Il lui pris un sein dans une main, lui caressait le corps avec l'autre, jusqu'à lui insérer un doigt humide dans l'anus. Elle lui tendit de plus en plus sa croupe et Léo après avoir bien lubrifié, entrepris une petite pénétration anale tout en excitant le clitoris de Marion. Après quelques va et vient, accompagné de cris jouissif de Marion, il se retira, la pris par la taille, la coucha sur le côté, une jambe repliée, il la pénétra ainsi, jusqu'au fondement : elle ne pu se retenir ; sa tête, toute engourdie, cessa de réfléchir, elle haletait, sa respiration était devenu rapide, aux rythmes de celle de Léo, comme une locomotive, il la pénétrait sans relâche. Elle ne savait plus où elle était, qui elle était, ce qu'elle faisait ; une vague d'émotions intenses commencèrent à la submerger. Tel un train, Léo continuait et senti lui aussi la jouissance monter en lui. Son déhanchement n'était plus de sa propre volonté, une force avait pris le relais : Ils se laissaient tous les deux aller au plaisir suprême, à la jouissance partagée et dans un hurlement à l'unisson, Léo déchargea dans le vagin chaud et mouillé de Marion procurant une décharge électrique suivie d'un puissant sentiment d'assouvissement.
Lentement, en se caressant l'un et l'autre, il finit ses mouvement de bassin, et la verge toujours à l'intérieur de sa partenaire, vin se coller tout contre son dos et son joli cul. Ils s'étreignirent et s'endormirent, ainsi.