dimanche 15 avril 2012

"Sous le signe du feu" partie 7


Bonjour,


Voici bien longtemps que je n'ai rien fait. Mais vous le croirez ou pas, j'avais déjà écrit la suite. Le problème c'est qu'il est sur le disque dur de mon PC qui est mort et dont je n'ai pas le moyen de récupérer quoi que soit.
Donc, j'ai dû recommencer un peu avec ce que je me souvenais. ça devrait être sensiblement pareil, peut-être plus long, peut-être plus détaillé, peut-être mieux.

Donc, voici la suite de la nouvelle "Sous le signe du feu", partie 7. La fin, approche, mais il reste encore beaucoup de choses à lire.


Il lui présenta alors son sexe dur et droit, elle le fixait, les lèvres pincées que sa la langue humecta. L'odeur de l'appareil était suave, douce et puissante. Elle le prit fermement dans sa main et débuta un lent mouvement de va et vient dans sa bouche. Elle commença par suçoter le gland sur lequel elle faisait jouer sa langue. Ses lèvres humides caressaient le sexe de Léo et les yeux de Fanny étaient remplis de joie et de gourmandise. Léo eut même cru qu'elle allait en pleurer.


Elle s'en donnait à cœur joie et se mit à engloutir cette friandise inespérée, doucement, goulûment. Sa main branlait, sa langue frétillait, ses lèvres étreignaient ce sexe, son nez inspirait autant qu'il le pût cette effluve et la musique repris un nouveau morceau : « I wanna be a women » lui susurrait cette voix douce. Elle le voulait, elle le devait, et ne demandait que ça, être une femme, ici, avec lui, avec l'instrument de la vie dans sa bouche ; je suis sa maîtresse, je suis la maîtresse. A cette pensée, elle accéléra, lécha la verge dans son entier, allant sucer les bourses épilées de Léo qu'elle caressait de sa main gauche.

Quant à lui, il s'était allongé, les jambes repliées, caressant les cheveux de Fanny, sa nuque, ses petits seins. Sa respiration se fît de plus en plus rapide, il s'était abandonné à elle, à ce plaisir donné. Il sentait son sexe dur et gonflé dans la bouche humide et chaude de Fanny. Il sentait sa petite main serrer son sexe comme si elle voulait retarder le moment de la jouissance. Il sentait les caresses qu'elle prodiguait à ses bourses et son doigt, qu'elle mouillait de cyprine, lui caresser l'anus jusqu'à introduction. Il sentait ce doigt lui procurer un plaisir complémentaire à la langue sur son pénis.

Fanny, lui suça les boules, lui lécha la rosette, y introduit sa langue longuement, délicatement. Sa main branlait toujours le sexe. Elle revint sur le gland, et engouffra la verge tout entière. Aux gémissements de Léo, elle avait décidé que venait le moment. Ce moment qu'elle attendait au moins autant que lui. Cet instant où elle pourra goûter à l'extrait de sensualité, au miellat des hommes, elle ne faisait que d'y penser. Léo sentait monter en lui la jouissance, son sexe durcit et se gonfla. Fanny s'en aperçut et, suçant de façon à vouloir tout extraire de ce sexe, elle caressa de son doigt la prostate de Léo. Le plaisir arrivait, Léo, gémissait, Fanny était surexcitée. Elle savait ce qu'elle faisait, elle s'en réjouissait ; il savait qu'il pouvait compter sur elle, il se laissa aller ; et dans un râle, dans un gémissement, une giclée de foutre alla se loger dans la bouche de Fanny. Elle continu de lécher, elle ne voulait rien laisser. On pouvait apercevoir un peu du liquide sur ses lèvres. Elle engloutit tout, avala toute cette substance chaude, humide, douce et salée.


Elle se coucha près de lui, il l'embrassa à pleine bouche. Ils se caressèrent longuement sur tout le corps. Puis, voyant l'heure, se rhabillèrent et Fanny rentra.

Ils se revirent le lendemain et firent l'amour de la plus belle, sensuelle et parfaite manière que l'on puisse imaginer.