jeudi 5 mars 2015
"Sous le signe du feu" partie 8
dimanche 15 avril 2012
"Sous le signe du feu" partie 7
Bonjour,
Voici bien longtemps que je n'ai rien fait. Mais vous le croirez ou pas, j'avais déjà écrit la suite. Le problème c'est qu'il est sur le disque dur de mon PC qui est mort et dont je n'ai pas le moyen de récupérer quoi que soit.
Donc, j'ai dû recommencer un peu avec ce que je me souvenais. ça devrait être sensiblement pareil, peut-être plus long, peut-être plus détaillé, peut-être mieux.
Donc, voici la suite de la nouvelle "Sous le signe du feu", partie 7. La fin, approche, mais il reste encore beaucoup de choses à lire.
Il lui présenta alors son sexe dur et droit, elle le fixait, les lèvres pincées que sa la langue humecta. L'odeur de l'appareil était suave, douce et puissante. Elle le prit fermement dans sa main et débuta un lent mouvement de va et vient dans sa bouche. Elle commença par suçoter le gland sur lequel elle faisait jouer sa langue. Ses lèvres humides caressaient le sexe de Léo et les yeux de Fanny étaient remplis de joie et de gourmandise. Léo eut même cru qu'elle allait en pleurer.
Elle s'en donnait à cœur joie et se mit à engloutir cette friandise inespérée, doucement, goulûment. Sa main branlait, sa langue frétillait, ses lèvres étreignaient ce sexe, son nez inspirait autant qu'il le pût cette effluve et la musique repris un nouveau morceau : « I wanna be a women » lui susurrait cette voix douce. Elle le voulait, elle le devait, et ne demandait que ça, être une femme, ici, avec lui, avec l'instrument de la vie dans sa bouche ; je suis sa maîtresse, je suis la maîtresse. A cette pensée, elle accéléra, lécha la verge dans son entier, allant sucer les bourses épilées de Léo qu'elle caressait de sa main gauche.
Quant à lui, il s'était allongé, les jambes repliées, caressant les cheveux de Fanny, sa nuque, ses petits seins. Sa respiration se fît de plus en plus rapide, il s'était abandonné à elle, à ce plaisir donné. Il sentait son sexe dur et gonflé dans la bouche humide et chaude de Fanny. Il sentait sa petite main serrer son sexe comme si elle voulait retarder le moment de la jouissance. Il sentait les caresses qu'elle prodiguait à ses bourses et son doigt, qu'elle mouillait de cyprine, lui caresser l'anus jusqu'à introduction. Il sentait ce doigt lui procurer un plaisir complémentaire à la langue sur son pénis.
Fanny, lui suça les boules, lui lécha la rosette, y introduit sa langue longuement, délicatement. Sa main branlait toujours le sexe. Elle revint sur le gland, et engouffra la verge tout entière. Aux gémissements de Léo, elle avait décidé que venait le moment. Ce moment qu'elle attendait au moins autant que lui. Cet instant où elle pourra goûter à l'extrait de sensualité, au miellat des hommes, elle ne faisait que d'y penser. Léo sentait monter en lui la jouissance, son sexe durcit et se gonfla. Fanny s'en aperçut et, suçant de façon à vouloir tout extraire de ce sexe, elle caressa de son doigt la prostate de Léo. Le plaisir arrivait, Léo, gémissait, Fanny était surexcitée. Elle savait ce qu'elle faisait, elle s'en réjouissait ; il savait qu'il pouvait compter sur elle, il se laissa aller ; et dans un râle, dans un gémissement, une giclée de foutre alla se loger dans la bouche de Fanny. Elle continu de lécher, elle ne voulait rien laisser. On pouvait apercevoir un peu du liquide sur ses lèvres. Elle engloutit tout, avala toute cette substance chaude, humide, douce et salée.
Elle se coucha près de lui, il l'embrassa à pleine bouche. Ils se caressèrent longuement sur tout le corps. Puis, voyant l'heure, se rhabillèrent et Fanny rentra.
Ils se revirent le lendemain et firent l'amour de la plus belle, sensuelle et parfaite manière que l'on puisse imaginer.
samedi 16 avril 2011
"Sous le signe du feu" partie 6

Bonjour à vous amis libertins.
Voici une grosse partie (sans mauvais jeu de mots) de cette nouvelle. Attention au sexe !
Tous les jours, Léo jouait à ce jeu, et presque tous les jours il avait sa dose de jouissance, sa dose de sexe. Les jours sans étaient des jours familiaux, de travail, de fatigue ou de maladie.
Il aimait surtout deux situations : La première était celle de la rencontre dans un parc. La deuxième était celle de la séduction chez des amis. Il se rappelait vraiment les plus beaux moments qu'il a passé dans ces deux situations. Ces souvenirs lui donnent toujours plus de vigueur dans la recherche d'autres plaisirs équivalents.
Quand il va au parc par les jours de beaux temps, il scrute, il épie, il ressent les émotions, la volupté chez toutes les personnes qu'il voyait : jeunes filles à peine déflorées, mére de famille à la recherche d'un renouveau orgasmique, jeunes hommes et jeunes femmes doutant encore de leur sexualité et découvrant par jeu les délices de la libido.
Ah les jeunes filles, qui, en groupes, assises sur l'herbe, parlent de mecs, de sexe, avec les connaissances de ce qu'elles lisent dans des magazines stéréotypés et insipides. Elles se posent des questions et dégagent une fraîcheur et un désir d'apprendre qui n'a d'égale que leurs parfums délicieusement sucrés. Léo se rappelle en les voyant, ses premier ébats sexuels, ses premières fellations, ses premiers cunnilingus. Il était novice mais mettais du cœur à l'ouvrage. Il savait déjà s'y prendre, sans brusquer, doucement, délicatement, mais fermement. Il avait choisi de d'abord procurer du plaisir à l'autre. Ce qui veut dire de longs préliminaires, parfois, même, il n'allait pas plus loin. Il était devenu ainsi un spécialiste avec sa langue de chat. Il savait jouer du clitoris avec son doigt et sa langue, ne pas aller trop vite, ralentir quand il fallait, accélérer quand elle le désirait, de tout son être, de tout sont sexe.
Elle, s'appelait Fanny. Elle était brune, petite, avait des grands yeux noisettes et une peau blanche comme les nuages. Ses seins étaient déjà formés, elle avait 16 ans, lui 17. C'était une fille de son quartier qu'il voyait de temps en temps avec ses amis. Il se rappelle l'avoir invité à aller voir une exposition d'art moderne alors que leurs amis étaient partis, peut-être rentrés, peut-être pas intéressés par des peintures.
Ce qui l'amena ainsi à l'inviter chez lui après l'exposition. Bien sûr, elle était déjà venu, mais jamais seule. Ce jour là, il faisait beau et chaud. Le soir, une brise fraîche soufflait à travers la chambre ; la fenêtre ouverte, les rideaux fermés respiraient au même rythme que les deux corps s'enlaçaient et s'embrassaient. Léo avait mis de la musique, Portishead ! La musique douce et lente, harmonisait l'atmosphère de la pièce : c'était leur toute première fois. Il l'embrassa, la caressa. Elle se laissa allé, portés par l'ambiance, les mains douces et vigoureuses de Léo, ses baisers langoureux et sucrés.
Ils étaient très excités, elle était un peu inquiète. Il l'avait remarqué et à donc fait en sorte qu'elle se détende, qu'elle prennent confiance en elle et en son partenaire. Ses mains parcouraient son corps, sa tête, sa nuque, ses épaules, son dos, alors que ses baisers effleuraient sa bouche, son cou, ses oreilles. Il glissa sa main gauche doucement en dessous de son petit haut, lui caressa le dos, toucha les bretelles de son soutien gorge, descendit la main près des hanches, alors que de l'autre, il maintenant et caressait son visage et sa nuque.
Elle était vêtue d'un short en jean délavé, très à la mode à cette époque. Il glissa ma main sur ses jambes nues, remonta aux cuisses, effleura du bout des doigts ses fesses. Sa main droite tenait encore vigoureusement la tête de Fanny, qui de plus en plus se penchait en arrière, pour découvrir sa gorge. A ce moment, Léo su qu'elle était en confiance. Il franchit alors une étape. Sa main gauche caressa alors les fesses rondes et musclées de l'adolescente. Sa main droite passa en dessous du T-Shirt et vint caresser les seins fermes de Fanny. Excitée par les caresses et les baisers , elle enleva son haut d'une rapidité déconcertante. Léo empoigna son sein gauche avec la main droite, dégrafa son soutien gorge de l'autre, il descendit sa bouche en direction des mamelons sans oublier de de passer par le cou, de lécher de croquer ses épaules. Il mordilla les tétons et les suça pendant que ses mains commencèrent à caresser le sexe de Fanny. Celle-ci, lancée mais encore intimidée par ce flot de nouvelles émotions, palpa doucement la verge de Léo, dure, enfermée dans son pantalon.
Il défi le short de Fanny, glissa sa main à l'intérieur, d'abord sur le sous-vêtement, un string en coton, dentelé. Il appuya délicatement son pouce sur son vagin, et frotta doucement, du pubis à l'anus. Elle trouva alors le courage d'ouvrir le pantalon et d'empoigner le pénis de Léo : elle ne savait pas vraiment quoi en faire, et le tint fermement, en branlant de temps à autre, au sursaut d'un orgasme.
Son short baissé, enlevé, Léo, toujours suçant les mamelons rose de Fanny, tenait et caressait les fesses nues avec sa main droite, le majeur titillant le sphincter, sa main gauche rentré dans la string, caressant les lèvres et le clitoris humides de son sexe. Il lui enleva alors le sous-vêtement restant, et profita de sa position pour embrasser et lécher son nombril, l'aine épilée de Fanny, pour venir poser sa langue sur le bouton rose de l'orgasme féminin. Elle se coucha alors sur le lit, écarta les jambes laissant le soin à Léo d'admirer, dans le clair obscure de la pièce la sexe rose, mouillé, dilaté et le clitoris, point culminant se son sexe.
Il y engouffra sa langue, et lécha soigneusement l'intégralité. Délicatement, au rythme de la basse de Portishead, il lécha les lèvres, aspira le clitoris, enfonça sa langue dans le vagin. Celle-ci descendit, presque fortuitement sur l'anus rosé de Fanny. Il le lécha également et y enfourna la langue quand celui ci fût près à s'ouvrir.
Fanny gémissait, haletait, se caressait partout, en complément des caresses de Léo. Sa tête basculait d'avant en arrière, de gauche à droite. Une chaleur l'envahit, son corps se mis à frémir, elle bouillait intérieurement. La pression montait et était maintenue par Léo qui avait alors commencé à introduire délicatement son index dans le vagin complétement dilaté, près à accueillir une verge. Il continua son cunnilingus et elle attrapa sa tête en signe comme pour s'accrocher à quelque chose, tout en lui montrant qu'elle allait jouïr. Il accéléra alors la manœuvre, utilisa pleinement sa langue et ses doigts : un dans le vagin, l'autre dans l'anus, elle haletait, ses cris se fîrent de plus en plus aigus, de plus en plus forts, le rythme de la musique était rompu, sa tête et ses yeux se troublèrent, elle ne savait plus où elle était, ce qui se passait, avec qui elle était. Une chaleur intense envahit sa tête. Elle ne sentait que son plaisir, l'arrivée de son premier orgasme, la langue chaude de Léo sur son sexe qu'elle sentait tout humide, et, tout à coup, d'un tressaillement, une explosion survint dans son corps, une explosion de chaleur, un envahissement de sentiments inconnus et indéfinissables qui fûrent accompagnées d'un cri d'extase.
Léo marqua un temps d'arrêt et repris doucement ses caresses, délicatement, en ralentissant au fur à mesure que le corps de Fanny se calmait, au rythme revenu de la musique. Fanny, se calma, heureuse, releva sa tête, ses yeux pétillaient de plaisir, elle pinçait ses lèvres avec ses dents et au moment où elle posa le regard sur la verge dure de Léo qui sortait de sont pantalon, il vit qu'elle n'était pas rassasiée et qu'elle en redemandait encore.
vendredi 4 mars 2011
"Sous le signe du feu " partie 5

Bonjour à tous ceux qui me lisent de temps en temps. J'ai un peu de temps, donc j'en ai profité pour continuer un peu ma nouvelle. Voilà donc la suite de l'histoire de Léo.
Les autres chapitres : "Sous le signe du feu" partie 1 et "Sous le signe du feu" partie 2 et "Sous le signe du feu" partie 3 et "Sous le signe du feu" partie 4.
Léo passait la plupart de son temps à la recherche de personnes désirantes. A l'université, au travail, les collègues, les clients, dans la rue, au café, au parc, au cinéma, au musée, au restaurant, en boîte, chez les amis, partout ! Partout il passait son temps à discerner, à choisir et à séduire. Il séduisait et parfois se laissait séduire. En effet, sa prestance suffisait à donner le courage aux autres de s'adonner au jeu de la séduction et de la recherche du plaisir.
Parce que Léo n'aimait pas vraiment voir sur le visage de quelqu'un une sorte de contrariété, une contrainte. Il n'aimait pas prendre du plaisir avec quelqu'un qui subit, quelqu'un qui se sent obligé. Au début, il est tombé sur plusieurs personnes qui ne prenaient pas vraiment de plaisir à faire quelques jeux sexuels et sensuels que Léo lançait comme naturels. Ces personnes avaient en effet des a priori très forts sur le sexe et certaines pratiques. Par exemple, la fellation : certaines filles trouvent cela assez écœurants, voire avilissant et parfois même non hygiénique... Mais beaucoup d'entre elles, par la médias, les copines, voir le désir de faire plaisir, ou même par imposition, se sentent obligées de sucer la verge de leur partenaires, et cela avec dégout, sans plaisir. Certaines d'entre elles sont très bonnes comédiennes et arrivent presque à dissimuler leur manque de plaisir.
Léo évite ce genre de personnes, car il ne veut rien imposer. Or, quand on impose, ou qu'on se sent obligé de faire quelque chose, on ne prend pas de plaisir à le faire, donc, on n'y met pas tout son cœur, on procure alors beaucoup moins de jouissances à l'autre. En effet, le sexe est une affaire d'émotion jouissifs, mais doit être réciproque. On aime que l'autre ressente du désir, et cela nous en procure tout autant. C'est un cycle !
Tous les jours, Léo jouait à ce jeu, et presque tous les jours, il avait sa dose de jouissance, sa dose de sexe. Les jours sans étaient des jours familiaux, de travail, de fatigue ou de maladie.
Il aimait surtout deux situations : La première était celle de la rencontre dans un parc. La deuxième était celle de la séduction chez des amis. Il se rappelait vraiment les plus beaux moments qu'il a passé dans ces deux situations. Ces souvenir lui donne toujours plus de vigueur dans la recherche d'autres plaisirs équivalents.
mercredi 4 août 2010
Et un de plus
Salut,
Parce que je suis en forme je vous laisse découvrir cet article intéressant :
Il me reste à vous souhaiter une bonne soirée, mesdames, mesdemoiselles..., et messieurs !
"Sous le signe du feu" partie 4

Voici la quatrième partie de cette nouvelle. Pour lire les autres parties :
Cette sensation il la procurait à nombre de personnes : il était comme un Apollon humain, qui cherchait la sensualité des autres. Celle ci se manifestait indéniablement quand on posait un regard sur lui. Le corps de Léo était beau, ses cheveux courts, noirs, son teint légèrement halé, son visage juvénile était surmonté de quelques marques plus virils. Son sourire était discret mais permanent, accompagné de son regard, d'un vert émeraude, des yeux rieurs, des yeux gourmands, des yeux curieux, qui vous hypnotises pour vous emmener dans des coins perdus de votre esprit... Une exploration de vous même à travers ce regard, vous déconcerte, mais vous enivre également : on en ressort revigoré, heureux.
Le reste, on le découvrait souvent plus tard : la buée vous embrumissant les yeux et l'âme, il était souvent impossible de voir autre chose de Léo. Cette dernière partie était la partie cachée de l'iceberg : un corps élancé, musclé, des épaules droite et fortes, des jambes solides, grandes. Son dos galbé mettait en ses fesses en première ligne, des fesses musclées, rondes, des fesses que l'on veut croquer, que l'on veut saisir, des fesses de femmes. On essayait de scruter ce monument pour essayer d'y déceler la frontière de partage entre les deux hémisphères, d'y imaginer la ligne intime amenant à l'entrée exquise de ce corps pure.
Léo, était un corps entretenue, épilé juste ce qu'il faut, propre. Son sexe, légèrement foncé, était bien visible, et trônait fièrement entre ses jambes, droit, imposant mais rassurant. Il n'était pas énorme, avait une taille moyenne, mais était beau. Il ne penchait sur aucun côté. Ses bourses, attachées en dessous, était uniformément proéminentes. Son gland, rose et scintillant enflait, décalotté, généreusement au sommet d'un membre rond, ni trop large ni trop long mais affriolant. L'odeur suave, muscée mais fraîche et sucré qui émanait de ce corps et de ce sexe nous montait à la tête, comme les parfums enivrants de nectars appétissants. Même la plus prude des femmes, le plus macho des hétéros n'auraient pu résister à l'envie de s'en emparer et de l'engloutir. C'est à cet instant que tous vos sens s'éveillent brusquement !
dimanche 7 février 2010
Bonne... Euh... St Valentin.
Et bien désolé de l'inactivité mais je suis extrêmement pris en ce moment...
Mais pour me faire pardonnez je vous glisse un lien très plaisant : une jolie photo par jour. En plus de la beauté des sujets, les photos sont souvent très joliment mis en scène :
Donc, bon visionage...
P.S. : Je me remettrai bientôt à écrire, enfin, j'y penserai bientôt !